ACTUALITES

. Urgence littéraire : Lettre ouverte au Ministère de la Culture
Trois livres par jour, cela représente 90 livres par mois et 1080 livres par an... et par auteur.(..) On imagine les dégâts causés par cette submersion sur toute la filière du livre si aucune mesure n'est prise pour contrer les travers d'une l'IA utilisée à mauvais escient.

. Prochainement en téléchargement gratuit

C'est quoi la justice. Au coeur de l'actualité, la loi expliquée aux enfants par leurs proches, en langage simple

. actualitte.com :  une mine d'or pour auteurs et lecteurs
Le site actualitte.com ne se contente pas de dérouler l’actualité littéraire

. Quand l'AI contrôle l'IA
Les plagiats nés de l'IA portent atteinte à priori aux auteurs auto-édités. Ces auteurs ne sont en rien responsables de l'invention de l'IA ni de son utilisation à mauvais escient, pourquoi devraient-ils en faire des frais ? S'il convient de soutenir l'initiative d'un label, il est impératif que celui-ci soit gratuit.

. Le nouveau désordre numérique
On l'a gardé en tête pour son contenu.



SYMBOLE  AUTHENTISME

Le Portail du Livre propose d'insérer le symbole de l'authentisme à toutes les œuvres non conçues par I.A. Ce symbole est libre de droits, non modifiable et exclusivement réservé aux œuvres authentiques. Il existe en version française et en version anglaise. Par copier/coller ou téléchargement de l'originale.

The Book Portal proposes to insert the symbol of authenticity to all works not designed by I. A. This symbol is free of rights, not modifiable and exclusively reserved for authentic works. It is available in French and English. Copy/paste this picture or download the original one





Prochainement en téléchargement gratuit

C'est quoi la justice. Au coeur de l'actualité, la loi expliquée aux enfants par leurs proches, en langage simple : comment la loi punit celui qui menace un professeur, qui fait du chantage, du bizutage, du racket, celui qui casse, qui met le feu à une voiture, celui qui empêche les secours d'agir... etc

Des actes très graves sont commis par des enfants de plus en plus jeunes. S'agissant de crimes, ils affectent douloureusement deux familles, celle de la victime autant que celle du fautif. Quel parent saurait se réjouir de voir son enfant ne connaître que les barreaux d'une prison sa jeunesse entière ?

Cet ouvrage est destiné aux parents, aux proches. Ils ont la lourde responsabilité de protéger l'enfant du pire destion qu'il puisse affronter : la prison.






Une mine d'or pour auteurs et lecteurs

Les bons sites littéraires susceptibles de charmer à la fois auteurs et lecteurs ont tendance à se raréfier ou à dépérir.

Il en est pourtant un, très complet, d’une navigation agréable (par là il faut entendre sans débordements excessifs de pubs). Le site actualitte.com ne se contente pas de dérouler l’actualité littéraire au travers d’interviews, de reportages, d’enquêtes.
Il parle aussi d’édition, d’éditeurs, de ceux qui dirigent les collections, de bibliothèques, de libraires.
Il parle de législation, de numérique, de publications, d’enchères. Il parle de médias, de jeux vidéos, de presse… à vrai dire, un excellent et incontournable site littéraire, à rendre jaloux le Portail du Livre.




Que penser du label Création Humaine ?

    Le Portail du Livre ne peut qu'encourager la création d'un label protégeant les auteurs de l'intelligence artificielle utilisée à mauvais escient, quelle que soit la provenance de ce label. Mais que penser du label Création Humaine qui tente de s'imposer ? S'il convient de soutenir l'initiative d'un label, il est impératif que celui-ci soit gratuit. Pourquoi ? Contrairement aux ouvrages publiés par les éditeurs ayant pignon sur rue, garants de l'authenticité d'un livre, les plagiats nés de l'IA portent atteinte à priori aux auteurs auto-édités.

    Ces auteurs ne sont en rien responsables de l'invention de l'IA ni de son utilisation à mauvais escient, pourquoi devraient-ils en faire des frais ? Un label  payant constituerait une nouvelle charge pour des auteurs auto-édités qui sont très souvent, les gros dindons de la farce numérique, avec des recettes quasi-inexistantes et des charges très lourdes. Enfin, demander aux auteurs de porter un label sur leur publication constitue d'ores et déjà une belle publicité gratuite pour le(s) concepteur(s) du label, faut-il de surcroît qu'ils financent une publicité qui ne leur profite en rien ?

     Sur la forme : d'accord pour un contrôle humain sur la conformité de l'ouvrage, qui permettra de repérer rapidement les production formatée dans un moule stéréotypé, les auteurs qui n'en sont pas ou ceux qui inondent d'anglicismes leur plagiat revisité pour pallier l'aridité de leur vocabulaire  Mais confier à un algorithme le soin de contrôler un autre algorithme laisse craindre que d'authentiques créations soient censurées, selon les paramètres de l'algorithme utilisé. Ancêtres de l'IA, les assistants orthographiques et grammaticaux ont dévoilé depuis des lustres leurs faiblesses, notamment dans l'utilisation des synonymes souvent inadéquats. 
Seule une lecture humaine approfondie peut déceler les failles d 'une production sans âme, sans émotion, sans inventivité.





L'horreur numérique ?

« Internet n'a pas élevé les gens au niveau du savoir, mais a au contraire abaissé le savoir à leur niveau. (..) L'esprit se perd face au tsunami des données, incapable de faire la part du bon grain et de l'ivraie. Ce sont, au contraire, les idées les plus farfelues, les rumeurs les plus folles, les contre-vérités les plus grossières qui se diffusent le mieux. (..) En permettant la création aisée, discrète et rapide de communautés d'intérêts, le numérique a délivré les monstres les plus sinistres.

Changer les mots, c'est changer les idées et donc les opinions. Simplifier les concepts, c'est interdire leur compréhension, effacer les nuances et empêcher l'émancipation. Si un mot n'existe plus, la chose nommée disparaît. (..) Il serait très naïf de croire que seuls les régimes autoritaires ont compris le rapport entre langage et pouvoir.(..) Ne voyons-nous pas qu'une bonne partie des efforts de la puissance publique réside dans l'imposition des vocables jugés légitimes pour nommer les choses ? Un exemple parmi d'autres : parler de vidéoprotection au lieu de vidéosurveillance.  Le pouvoir, comme l'avait compris La Boétie, est dans la tête de ceux qui s'y soumettent : la domination est affaire de sens, et les mots sont précisément ce qui crée les structures de représentation. Toute lutte politique se fait à travers les mots. (..) Le choix des vocables n'est jamais neutre.

Plusieurs écoles de Barcelone ont supprimé 200 livres de leur bibliothèque, dont La belle au bois dormant et Le petit Chaperon rouge, jugés « stéréotypés et sexistes ». Une purge équivalente à un tiers de leur catalogue, ce qui représente un inquiétant premier pas. (..) Une civilisation qui commence à trier ses livres, quels qu'en soient les motifs, est en phase régressive..»

Dans Le nouveau désordre numérique Olivier babeau dresse un contrat amer de l'éccélérateur numérique. On peut regretter seulement que ce constat apporte peu de propositions pour y remédier. Un livre qui prête à gravement s'interroger.

En route vers l'authentisme

     Le Portail du Livre s'inscrit résolument dans la veine de l'authentisme, plus que jamais d'actualité face aux errements de l'intelligence artificielle. Si l'I.A. séduit dès lors qu'un robot-aspirateur ou un exosquelette allège les tâches ordinaires, il en est tout autrement lorsque l'I.A. s'attaque aux « œuvres de l'esprit » en prétendant que les écrivains, les scénaristes, les cinéastes, les artistes, les chanteurs, les créatifs en tous genres, tout comme les journalistes et autres intellectuels n'auront bientôt plus lieu de perdurer. (..) Article intégral ici.

L'initiative du Portail du Livre.
     Investi dans la défense du droit d'auteur depuis sa création en 1997, le Portail du Livre se devait de prendre position pour protéger et garantir l'authenticité d'une œuvre réelle, en créant un symbole de qualité, celui de l'authentisme. Tous les auteurs qui n'utilisent pas l'I.A, et uniquement eux, sont invités à le mentionner sur leurs œuvres.
     Ainsi, le symbole de l'authentisme protège une œuvre réelle. Il est libre de droit, non modifiable, et exclusivement réservé aux créatifs n'utilisant pas l'I.A.


ARCHIVES